La presse

Le Team Riviera dans le régional 04/2014

Le team riviera à l'honneur dans les nouvelles pages sport du régional,

format PDF du régional du 16-23 avril 2014 ou un petit article sur le judo en page 24 vous attend,

 

Bonne lecture

 

 

 

 

Judo Riviera est promu en 1ère ligue

Avec 54 combats gagnés sur 70, dont 51 par «ippon», soit victoire immédiate, le Judo Team Riviera termine en  tête de la 2e ligue du championnat de suisse 2013.

Vincent Ferrier, combattant et coach Judo Team Riviera.DR

Le Judo Team Riviera est une équipe de compétition créée en 2009 par quelques jeunes judokas provenant des clubs de Vevey, Montreux et Pully. Rapidement l'équipe termine seconde du championnat suisse de judo par équipe en 2e ligue régionale. La saison 2012, elle, s'achève à une belle troisième place.

Pour la saison 2013, le Judo Team Riviera affirme sa motivation et entame le championnat avec la ferme intention de dominer cette ligue. Après huit soirées réparties sur l'année dans toute la Suisse romande, 14 rencontres ont été jouées. Le Judo Team Riviera a combattu 70 fois pour un total de 54 combats gagnés. Quatre rencontres ont été gagnées 10 à 0. L'équipe s'incline deux fois sur le plus petit des scores, 4 à 6 face aux équipes qui les suivent de près au classement final.

Sur les 54 combats gagnés, 51 l'ont été par ippon! (correspond à la victoire immédiate).

Avec une telle année, l'équipe atteint magnifiquement ses objectifs et termine première du classement. Le Judo Team Riviera est promu en 1ère ligue du championnat de suisse!

 

http://www.leregional.ch/N55022/judo-riviera-est-promu-en-1ere-ligue.html

 

 

 

6 veveysan(e)s sur le podium vaudois ! - 2010

Je Judo Club Vevey Riviera et belle moisson de médailles aux championnats vaudois individuel 2010

 

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Article paru dans le "régional" du 24 - 31  mars 2010

Si j’étais entraîneur de foot, j’irais voir les tournois de judo

Si j’étais entraîneur de foot, j’irai voir les tournois de Judo. Si j’étais un photographe, je m’inscrirais pour les prochains championnats vaudois de Judo et je passerais ma journée à photographier les noeuds, rien que les noeuds, des ceintures des enfants présents.

J’étais à Epalinges dimanche pour ce grand rendez-vous et c’est la première chose qui m’a frappé : les noeuds des ceintures. Il y avait le noeud qui tient quatre secondes ; le noeud qui résiste longtemps mais fait comme une montagne de tissu sur le nombril du môme ; le noeud qui se promène dans le dos ; le noeud qui ne tient pas du tout le judogi (c’est la chemise du judoka, m’a dit ma collègue Annick), et laisse vite apparaître les torses de poulets des petits combattants. La ceinture indomptable, la ceinture en balade, la ceinture mouillée par les larmes, ou chiffonnée par la colère de celui qui jamais n’arrive à la ramener à son vrai rôle de ceinture : un vrai poème, tout cela. Un poème sur l’enfance et ses jolis désordres qui rappellent que l’apprentissage est long, qu’il faut faire et refaire, mais que tout est possible. Car j’ai vu aussi des noeuds parfaits et des vestes demeurer fermées même dans les duels les plus coriaces.

Cela dit, si j’étais un entraîneur de jeunes footballeurs, j’accompagnerais le photographe. J’irais observer, écouter, entendre, retenir ce qui se fait et ce qui se dit. Je me ferais ombre des moniteurs et entraîneurs, des arbitres, qui sont les détenteurs de l’autorité et du savoir dans ce monde d’apprentis. Si j’étais entraîneur de football, j’admirerais cette façon qu’ils ont de parler tranquillement, à voix douce, mais ferme, ou ferme, mais douce, aux enfants. Cette façon, lorsque le combat est suspendu pendant quelques secondes, d’expliquer, d’informer, de corriger, de transmettre la connaissance. Cette façon de prendre par l’épaule, d’un geste qui n’est ni celui du père ni celui de l’instituteur, mais d’un homme extérieur qui sait d’autres choses que le père ou l’instituteur. Et en même temps cette façon d’être vraiment, sincèrement, complètement dans le même monde que le petit judoka.

Après une journée ainsi passée à observer, à prendre des notes, à demander des explications, à capter tous ces murmures fertiles, je retournerais à mon banc d’entraîneur de football. Et, pour le printemps qui revient, pour les matches à venir, je ferais les choses autrement. Je ne hurlerais plus mes consignes pendant le jeu, je les donnerais avant le match, à la mi-temps, et à la fin. Je transmettrais de la tranquillité, de la sérénité, plutôt que de la fébrilité. J’interdirais le geste interdit. Je rassurerais mes joueurs en leur enseignant le bonheur du geste juste, la saveur du projet collectif, plutôt que le seul goût de gagner, sans pourtant le bannir. Mais en le ramenant à sa juste place. Je serais regardé comme un animal curieux par mes collègues entraîneurs qui ne comprendraient pas pourquoi, au bord des terrains, je remplacerais peu à peu le cri par le murmure, l’engueulade par le conseil. Ils ne me comprendraient pas jusqu’au jour où ils accepteraient de m’accompagner à un grand rendez-vous de judo.

Philippe Dubath

Article paru dans le "24Heures" du mercredi 11 mars 2009

Le Club enregistre deux cinquièmes Dan d’un coup

Première pour le Judo Club de Vevey-Riviera

Première pour le Judo Club de Vevey-Riviera
Pour la première fois de son histoire, le Judo Club Vevey-Riviera compte deux ceintures noires cinquième Dan parmi ses membres. Daniel Bonjour et Serge Ducret. viennent d’accéder à ce rang élevé dans le monde du judo. Pour les deux judokas de Vevey qui ont débuté le judo dans les années 70, c’est la consécration après 35 ans de pratique et d’amitié sportive. Daniel Bonjour et Serge Ducret on préparé leur examen sous la direction de Maître Mikami (huitième Dan), ils se sont exercés jusqu’à quatre fois par semaine, même le dimanche. Les deux passionnés de judo se sont rendus à un stage d’entraînement au Kodokan de Tokyo, le grand temple du judo.

Cette minutieuse préparation a nécessité une rigueur et une organisation parfaite dans la vie de tous les jours, à côté d’une vie professionnelle déjà très chargée. Les deux athlètes ont bénéficié de l’appui de tous les membres du Judo Club Vevey-Riviera ainsi que de leurs familles, très fières maintenant de leur réussite.

 

Le Régional, 30.10.2008

Parution: 442